ANTIBES RETROUVÉ RASSEMBLEMENT NATIONAL ANTIBES
« Je l’affirme haut et fort, la France a tué mon mari par son insuffisance, son laxisme et son excès de tolérance ». Derrière ces propos saisissants d’Harmonie Comyn, veuve du gendarme Éric Comyn tué par un Cap-Verdien multirécidiviste après un refus d’obtempérer à Mougins, résonnait un véritable appel au sursaut face à l’immobilisme et à la lâcheté de ceux qui nous gouvernent.
Violence routière, trafic de drogue, agressions au couteau, rixes mortelles… comme lors de chaque saison estivale, aucune ville du département n’a été épargnée par l’explosion de la délinquance et de la criminalité qui sévit dans notre pays. Dans les colonnes de Nice-Matin, le préfet des Alpes-Maritimes Hugues Moutouh a même été jusqu’à qualifier cet été d’« épouvantable » d’un point de vue sécuritaire1. Hormis le drame dont a été victime l’adjudant Comyn, une fillette de sept ans a perdu la vie après avoir été fauchée par une moto qui faisait « une roue arrière », à Vallauris. Mi-juillet, sept membres – dont trois enfants – d’une famille innocente étaient tués dans l’incendie d’un appartement du quartier des Moulins, à Nice, sur fond de trafic de drogue. Plus récemment encore, une étudiante était agressée à Nice- Nord par un homme de « type africain », qui l’a jetée au sol et l’a poignardée une dizaine de fois.
Malheureusement notre commune a, elle aussi, fait les frais de cet ensauvagement, du laxisme migratoire et judiciaire, et de l’absence de renforts de policiers nationaux en raison des Jeux Olympiques et Paralympiques. Ainsi, le 1er septembre à Juan-les-Pins, suite à une bagarre impliquant une cinquantaine d’individus (!), une agression à l’arme blanche survenait en sortie de boîte de nuit et provoquait un mort et un blessé. Le lendemain, dans les rues d’Antibes, un homme se faisait arracher sa chaîne en or par deux sans-papiers récidivistes.
Malgré une baisse résiduelle des chiffres de la délinquance à Juan-les-Pins fin août vantée par Jean Leonetti, il n’en demeure pas moins que les commerçants et les riverains sont de plus en plus inquiets et se sentent de moins en moins en sécurité. Pour rétablir un cadre de vie paisible, la guerre aux délinquants et aux criminels doit désormais être menée sans relâche : leur place est en prison lorsqu’ils sont Français, et dans l’avion quand ils sont étrangers !
Arnaud Vié, Monique Gagean, Françoise Vallot, Daniel Foti
arnaud.vie@ville-antibes.fr
ANTIBOIS, JUANAIS, EXIGEZ LA PRIORITÉ POUR L’ACCÈS AU LOGEMENT !
Au lendemain d’élections européennes puis législatives lors desquelles un certain nombre de grandes thématiques ont été au coeur du débat public, un sujet pourtant central pour notre ville est passé entre les gouttes : le logement, et notamment l’accès au logement social.
Depuis quatre ans et notre élection au conseil municipal d’Antibes, notre groupe a fait de la problématique du logement une priorité. Face à la frilosité de la majorité municipale, nous luttons ainsi constamment contre la fameuse loi « SRU » (Solidarité et Renouvellement Urbain), qui aggrave la densification urbaine et la transformation sociale de notre ville. À cause de la loi SRU, ce que l’on appelle communément la « mixité sociale » est devenue une mixité migratoire, et les logements sociaux comme la solidarité dite « nationale » profitent très largement aux étrangers.
La récente levée de boucliers d’élus locaux - dont plusieurs maires des Alpes-Maritimes - contre cette loi communiste votée en l’an 2000 légitime le discours que nous et nos prédécesseurs tenons depuis près d’une décennie face à la majorité de Jean Leonetti.
À l’heure où les prix des loyers s’envolent et qu’à la fois les étudiants, les actifs et les retraités sont confrontés à une crise du pouvoir d’achat, le logement social est une nécessité. Il représente d’ailleurs une réalité essentielle pour la vie quotidienne de plus de dix millions de Français, dont plusieurs dizaines de milliers de Maralpins. Mais rendez-vous compte : en l’état actuel des choses, il ne faudrait pas moins de 17 ans à certaines communes pour atteindre les objectifs fixés par cette loi d’un autre temps. L’équivalent d’une génération donc, à condition de ne construire QUE du logement social.
En cohérence, nous nous sommes prononcés en faveur du développement du logement intermédiaire et de son intégration dans le calcul de la loi SRU. Néanmoins, d’autres mesures urgentes sont encore à prendre : intensifier la réhabilitation des logements existants, lancer la reconquête des logements vacants, privilégier la rénovation énergétique des logements anciens et leur rachat par les collectivités pour en faire des logements aidés, et surtout, donner par la loi le pouvoir aux élus locaux de prononcer un moratoire sur la construction de nouveaux logements. Enfin, si nous avons toujours défendu l’instauration de la préférence nationale dans l’accès au logement social, l’intronisation d’une préférence locale doit aussi être une piste à privilégier pour faire baisser la tension du marché locatif sur notre territoire et permettre aux Maires de reprendre la main sur leur attribution.
Arnaud Vié, Monique Gagean, Françoise Vallot, Daniel Foti
arnaud.vie@ville-antibes.fr
« Aujourd’hui on vit côte à côte… Je crains que de- main on vive face à face ». Quelques jours après le décès de l’ancien ministre de l’Intérieur Gérard Collomb, cette formule prononcée il y a cinq ans déjà, prend désormais tout son sens.
Pression migratoire ; permanence du terrorisme islamique sur le sol européen ; meurtre d’un jeune Français de 16 ans au cours d’une fête de village, victime du racisme anti-blanc d’une bande de racailles venues d’une cité de la ville voisine… Ces dernières semaines, quelque chose a changé et malgré la propagande politico-médiatique, les Français ont compris : il y a sur le sol national des gens qui nous détestent. À cet effet, la politique du logement social que nous passons notre temps à dénoncer, corollaire d’une immigration de peuplement effrénée, peut légitimement être pointée du doigt comme un facteur aggravant.
Depuis peu, l’aveuglement volontaire a laissé place à la lucidité. Lucidité sur l’immigration, lucidité sur l’islamisme, lucidité sur l’argent sale généré par le trafic de drogue (ayant provoqué une fusillade au milieu de l’été en plein cœur de Juan-les-Pins) et sur l’argent public gaspillé pour acheter la paix sociale dans les zones de non-France, lucidité, enfin, sur les raisons profondes qui conduisent aux tragédies auxquelles nous faisons face quotidiennement. Pas plus tard que le 27 novembre dernier, la maire de Romans-sur-Isère redoutait « d’autres drames, dans les villes où les citoyens aspirent à la tranquillité » ; drames de même nature que l’atroce assassinat du jeune Thomas. À l’heure où les chiffres de l’insécurité explosent dans les Alpes-Maritimes, ce dernier aurait d’ailleurs pu se produire lors de n’importe quelle fête populaire qui rythme Antibes ou Juan- les-Pins.
Dorénavant, cette lucidité doit néanmoins nous guider vers un optimisme résolu. Ce que l’État et Emmanuel Macron, motivés par 40 ans d’idéologie anti-nationale, se refusent à faire, les Français sont, eux, prêts à l’assumer : se serrer les coudes, préserver nos familles, reconquérir nos quartiers.
Alors que nous allons bientôt fêter Noël, qui porte depuis 2000 ans un message d’espérance et de joie sans égal, offert à tous ceux qui croient comme à ceux qui ne croient pas, cette prise de conscience populaire doit nous encourager et nous redonner confiance en l’avenir. En ces temps troublés et face à un État incapable de nous protéger des véritables menaces qui pèsent sur notre pays, refaire communauté passera obligatoirement par ces moments d’unité et de solidarité. L’an prochain encore, les Antibois et les Juanais pourront compter sur nous pour les rassembler, sans laisser personne de côté.
Arnaud Vié, Monique Gagean, Françoise Vallot, Daniel Foti
arnaud.vie@ville-antibes.fr
VOUS N’AVEZ PAS FINI DE PAYER POUR CEUX QUI NOUS HAÏSSENT !
Plus de 700 policiers et gendarmes blessés, près de 12.000 véhicules incendiés, un millier de commerces détériorés, 2.500 bâtiments dégradés dont 289 commissariats et gendarmeries, 168 écoles et 105 mairies, qui ont conduit à 3.500 interpellations, et des dégâts chiffrés à plusieurs centaines de millions d’euros : c’est le bilan établi par le ministère de l’Intérieur, des émeutes qui se sont déroulées en juillet dernier.
Quelques jours après cette semaine de violence inédite, lors de laquelle la gauche et le gouvernement se sont rendus complices du chaos, se tenait une séance du conseil municipal à Antibes. A cette occasion, le maire Jean Leonetti déposait une motion de soutien aux forces de sécurité, aux élus locaux, et à tous les services publics.
Si notre groupe a, bien entendu, souscrit à cette volonté de soutenir l’ensemble des femmes et des hommes agressés dans l’exercice de leurs fonctions, nous en avons aussi profité pour rappeler qu’il n’existait pas de privilège particulier en faveur des élus, et pour revenir sur un certain nombre de points fondamentaux. Si notre commune a cette fois été épargnée, l’incident qui a servi de prétexte à ce déchaînement barbare pourrait cependant arriver demain chez nous, chez vous. Le 19 août dernier, au milieu de l’après-midi, un homme était d’ailleurs grièvement blessé par arme à feu dans un salon de coiffure, en plein coeur de Juan-les-Pins. Force d’opposition et de proposition, nous passons notre temps à alerter la municipalité sur la montée de la délinquance à Antibes, qui se traduit par une multiplication des vols et des agressions. Tout cela était-il prévisible ? Si Emmanuel Macron ose encore se poser la question, nous répétons depuis des années, souvent seuls contre tous, que cette immigration folle, massive, conduira un jour ou l’autre à la catastrophe. Forces de l’ordre, pompiers, maires, services publics… alors que certains brandissaient une quelconque excuse sociale, c’est bien ce qui représente la France qui a été attaqué.
Depuis 40 ans, l’État dépense 10 MILLIARDS D’EUROS PAR AN pour la politique de la ville. Malheureusement, les réactions politiques qui ont fait suite à ce prodrome de guerre civile laissent crainte le pire. Plutôt que de sanctionner durement les familles de délinquants et de s’en prendre à l’immigration anarchique qui gangrène notre pays, nos dirigeants ont d’ores et déjà sorti le carnet de chèque. Chers Antibois, chers Juanais, ne vous y trompez pas : encore une fois, c’est avec vos impôts que sera reconstruit tout ce qui a été brûlé, pillé et saccagé par ceux qui nous haïssent !.
Arnaud Vié, Monique Gagean, Françoise Vallot, Daniel Foti
LUTTONS CONTRE LE BÉTONNAGE DE NOTRE COMMUNE !
En l’espace de soixante ans, la surface urbanisée d’Antibes est passée d’un quart aux trois quarts ! Sans pour autant faire preuve de nostalgie, la vitesse invraisemblable de cette transformation doit nous alerter sur l’urgence à préserver la biodiversité et à maintenir des espaces naturels dans la cité des remparts. Or, non seulement la municipalité a énormément construit ces dernières décennies, mais elle continue de le faire aujourd’hui.
Le pire, c’est que la problématique du logement demeure centrale et constitue désormais l’un des principaux enjeux de notre territoire.
D’une part, la commune d’Antibes se soumet avec zèle aux injonctions de la loi Solidarité et Renouvellement Urbain (SRU), texte promu par la gauche (gouvernement Jospin) et entretenu par le gouvernement actuel, qui accélère la densification urbaine et la transformation sociale de la ville.
À l’occasion du plan local d’urbanisme 2021, Jean Leonetti faisait notamment le choix de fixer à 40% le volume de logement social exigé dans les nouveaux bâtis. D’autre part, nous ne pouvons que constater qu’il existe une forte proportion de résidences secondaires, vacantes la plus grande partie de l’année. Hors saison estivale, ce n’est pas moins de la moitié des logements juanais qui sont inoccupés ! Ce phénomène entretient une tension insoutenable et des prix exorbitants sur le marché de l’immobilier et favorise donc, hélas, le bétonnage incessant. C’est en ce sens que nous avons proposé, lors du Conseil municipal du 17 février dernier, de majorer la taxe d’habitation sur les résidences secondaires à hauteur de ce qui se fait à Villeneuve-Loubet, Saint- Laurent-du-Var ou Mouans-Sartoux.
Une proposition reprise partiellement par la municipalité, qui permettra de dégager 2.5 millions d’euros supplémentaires de recettes fiscales. Nous exhortons désormais Jean Leonetti à mettre à profit ces recettes pour réduire les charges impactant l’ensemble des Antibois.
Mettre un coup d’arrêt à la densification urbaine qui traverse les différents projets de l’actuelle majorité, maintenir et protéger les espaces verts qu’il nous reste, lutter contre l’artificialisation des sols : tels sont les principes directeurs qui nous guident depuis notre élection en 2020. En nous opposant constamment à ces grands projets de construction et de bétonnage, nous veillons à protéger les espaces naturels et la qualité de vie des riverains, tout en encourageant le développement d’une agriculture de proximité.
Arnaud Vié, Monique Gagean, Françoise Vallot, Daniel Foti
arnaud.vie@ville-antibes.fr